Poutine HUMILIÉ ! La Russie N’A PLUS DE VÉHICULES D’ASSAUT !

Aujourd’hui, de nombreuses informations importantes émergent de la direction de Koursk.

Ici, les Russes ont lancé une nouvelle offensive en territoire ukrainien, tentant de couper les dernières forces ukrainiennes encore présentes à Koursk. Cependant, alors que les cadavres de soldats russes s’amoncelaient le long de la frontière, il est rapidement devenu évident que toute tentative d’incursion de leur part relevait de l’illusion.

Dans un premier temps, les forces russes ont cherché à submerger les troupes ukrainiennes en lançant des assauts frontaux contre le contingent en repli depuis Koursk. Toutefois, les Ukrainiens avaient mis en place des lignes de repli solides à Gogolevka et Rubanschina afin de sécuriser leur retraite, forçant les Russes à livrer une bataille de trois jours pour le petit village de Rubanschina, ce qui a considérablement retardé leur progression. Lorsqu’il est devenu clair qu’une attaque directe ne mènerait qu’à un nouvel échec, les Russes ont décidé d’adopter une toute autre approche.

Les Russes cherchaient toujours à encercler et anéantir le contingent ukrainien restant à Koursk et à Soumy, bien qu’une grande partie de ces forces ait déjà réussi à se replier. Pour revendiquer une victoire malgré tout, ils ont donc décidé de lancer une offensive dans la région de Soumy elle-même. L’objectif principal des Russes était de capturer Novenke et Basivka afin d’obtenir un contrôle direct par le feu sur l’autoroute Soumy-Soudja, qui reste la principale ligne d’approvisionnement ukrainienne vers le nord-est. S’emparer de cette route piégerait les défenseurs ukrainiens et poserait les bases pour capturer au moins une partie des forces en retraite. Cependant, les Russes étaient confrontés à un obstacle majeur : les pertes catastrophiques subies à Koursk avaient gravement compromis leur capacité à lancer une nouvelle offensive en territoire ukrainien.

Selon diverses estimations, les forces russes ont subi jusqu’à 55 000 pertes humaines au cours des sept mois et demi de combats intenses et de multiples contre-offensives avortées à Koursk. Fait notable, ces pertes dépassent largement le contingent initial de 50 000 soldats que la Russie avait déployé dans ce secteur pour repousser l’incursion ukrainienne. Moscou a dû prélever de plus en plus de réserves d’autres secteurs du front, y compris des soldats blessés, et faire appel aux Nord-Coréens pour parvenir à chasser les Ukrainiens. Selon des sources ukrainiennes, les Russes auraient également perdu jusqu’à 2 100 véhicules à Koursk, dont plus de 750 blindés de transport de troupes, véhicules de combat d’infanterie et chars, réduisant ainsi considérablement leur réserve blindée dans la région.

Si le nombre exact de soldats russes encore présents et en état de combattre dans ce secteur demeure inconnu, il est évident qu’ils n’ont plus la capacité de lancer une offensive de suivi pour encercler ne serait-ce qu’une partie des forces ukrainiennes de Koursk. Par conséquent, des images géolocalisées montrent que, ici encore, les soldats russes sont contraints de traverser des champs à découvert pour attaquer les positions ukrainiennes, utilisant des véhicules de fortune et même des scooters électriques. En dépit de leur manque de matériel adéquat, les Russes ont poursuivi leurs assauts en vagues successives, espérant submerger les Ukrainiens par le simple poids du nombre.

Malheureusement pour eux, le manque de blindage de leurs véhicules a permis aux Ukrainiens d’exploiter leur artillerie pour infliger des pertes encore plus lourdes aux assaillants. De plus, les opérateurs de drones ukrainiens ont eu le temps de se repositionner à l’arrière, dans la région de Soumy, d’où ils ont pu lancer des vagues de drones contre les attaques russes incessantes. L’état de déliquescence des capacités militaires russes dans ce qui est pourtant l’un de leurs secteurs les plus stratégiques illustre bien la situation désespérée dans laquelle se trouve l’armée russe.

Par ailleurs, l’incursion ukrainienne en territoire russe, dans la région de Belgorod, a encore aggravé la situation pour Moscou, car les maigres réserves restantes ont dû être redéployées en urgence pour contrer cette deuxième avancée ukrainienne.

Avec l’élargissement du front actif de plus d’un tiers, les forces russes ont rapidement perdu leur capacité à maintenir des vagues d’assauts continues dans leur manœuvre de contournement, entraînant finalement l’échec de leur opération.

En définitive, les Russes ont tenté d’obtenir une percée dans la région de Soumy pour couper les forces ukrainiennes en repli depuis Koursk, mais leur manque d’équipement adéquat a condamné leur offensive dès le départ. La majorité des troupes ukrainiennes ayant déjà quitté la zone, elles restent désormais prêtes à repousser toute nouvelle tentative russe d’incursion en territoire ukrainien. Cependant, alors que les cadavres de soldats russes s’amoncellent le long des forêts et des routes menant à Soumy, la perspective d’une grande offensive russe sur l’Ukraine semble de plus en plus irréalisable.