TRIPLE DÉSASTRE ! Les Russes ont exposé leurs flancs ET L'ONT PAYÉ CHER.

Aujourd'hui, de nombreuses nouvelles nous parviennent du secteur de Siversk.

Ici, l'opération offensive russe visant à atteindre Siversk se heurte à une forteresse ukrainienne tenue par des vétérans aguerris au combat. Pour tenter de la surmonter, les commandants russes ont lancé une attaque mécanisée de grande envergure sur trois axes, mais chacune d'elles a été totalement anéantie par les forces ukrainiennes.

L’objectif russe est clair : ils doivent s’emparer de Verkhnokamianske à tout prix afin d’ouvrir la voie à une offensive d’envergure sur Siversk.

Ce nœud logistique crucial alimente directement les forces ukrainiennes dans la région et constitue un point stratégique majeur sur cette partie du front. 

Tant que Siversk reste sous contrôle ukrainien, l’ensemble du front russe demeure instable, exposé à des contre-attaques et à des perturbations des lignes d’approvisionnement.

Après plusieurs assauts infructueux dans la région, les forces russes ont changé de tactique en lançant trois attaques simultanées dans le but de submerger les défenses ukrainiennes. Afin d’identifier un point faible, ils ont mené une offensive mécanisée de grande ampleur sur Verkhnokamianske, dernier village tenu par les Ukrainiens avant Siversk.

La première vague d'assaut russe était composée d'unités d'infanterie envoyées pour dégager les premières positions ukrainiennes et sécuriser les flancs de l’attaque principale. 

En observant la carte topographique, on constate que leur objectif était d’occuper les structures défensives ukrainiennes situées sur une colline dominant les routes menant au village. Les Russes visaient à en prendre le contrôle pour empêcher toute contre-attaque ukrainienne depuis le nord, permettant ainsi aux unités mécanisées plus lourdes d’avancer sans opposition immédiate.

Des images géolocalisées montrent des soldats russes dissimulés dans un fossé, tentant de lancer des explosifs dans un bunker ukrainien. Cependant, les défenseurs ukrainiens réagissent rapidement et rejettent les explosifs hors du bunker avant leur détonation. 

L’explosion tue et blesse plusieurs soldats russes, forçant le reste du groupe à battre en retraite et révélant la vulnérabilité de leur stratégie d'assaut. Au lieu de nettoyer les positions ukrainiennes, le premier axe d’attaque s’effondre sous un feu nourri.

Avec l’échec de l’infanterie à dégager les avant-postes, les Russes ont misé sur des « chars tortues » lourdement blindés, recouverts de plaques métalliques de fortune pour résister aux armes antichars ukrainiennes.

Équipés de rouleaux de déminage, ces véhicules modifiés étaient censés percer les lignes défensives ukrainiennes et atteindre les abords du village. Cependant, malgré leur blindage renforcé, les drones FPV ukrainiens ont ciblé méthodiquement leurs points faibles, frappant les compartiments moteurs et exposant les équipages jusqu’à ce que les véhicules soient immobilisés et prennent feu.

Lorsque le premier char tortue a explosé dans une immense boule de feu, l’infanterie russe a été contrainte de débarquer et de courir se mettre à l’abri, mais elle s’est retrouvée totalement exposée, devenant une proie facile pour les opérateurs de drones ukrainiens. Les soldats russes ont été pourchassés par des essaims de drones kamikazes et des grenades larguées par drones, éliminant des dizaines d'entre eux avant qu’ils n’atteignent les tranchées ukrainiennes.

Malgré l’échec des deux premières vagues d’assaut, les forces russes ont lancé une troisième attaque avec une nouvelle vague de véhicules blindés. Pensant sans doute que les défenseurs ukrainiens étaient épuisés, ils espéraient que cette tentative de percée réussirait enfin.

Le premier véhicule de cette colonne était encore un char tortue qui, par malchance pour les Russes, a heurté une mine antichar ukrainienne, se retrouvant immobilisé sur son flanc gauche. Cette position vulnérable en a fait une cible facile pour les opérateurs de drones ukrainiens. Plusieurs drones kamikazes l’ont frappé successivement, forçant l’équipage à évacuer en terrain découvert.

À partir de ce moment, la traque a commencé. Malgré leurs tentatives désespérées pour échapper aux drones, certains soldats russes allant jusqu’à prier ou jeter leurs armes dans un ultime espoir d’échapper à leur sort, les opérateurs ukrainiens du bataillon K-2 les ont méthodiquement repérés et éliminés un par un.

Au final, malgré une tentative d’assaut coordonné sur plusieurs axes, combinant équipes de nettoyage d’infanterie et véhicules blindés, les forces russes n’ont pas réussi à percer les défenses ukrainiennes en direction de Siversk. Bien que chaque vecteur d’attaque ait été conçu pour se soutenir mutuellement, les Ukrainiens ont su neutraliser efficacement chaque assaut, empêchant toute avancée russe. En maintenant le contrôle de Verkhnokamianske, les forces ukrainiennes ont une fois de plus stoppé l’offensive ennemie, stabilisant le front autour de Siversk et forçant les Russes à un nouvel assaut catastrophique.